La-Femme (Mabrouka Tetjalla) – En Tunisie, la chanson populaire Mabrouka Tetbarra résonne depuis des générations dans les mariages, entraînant les convives dans la fête. Pourtant, derrière son rythme entraînant, elle raconte une histoire méconnue : celle de Mabrouka, une femme victime de violences domestiques.
Dans un pays où une femme sur deux déclare avoir subi des violences, cette chanson prend aujourd’hui une tout autre dimension. L’Observatoire national de lutte contre les violences faites aux femmes, en collaboration avec le Ministère de la Femme, de la Famille, de l’Enfance et des Seniors, a lancé une campagne de sensibilisation #𝗠𝗮𝗯𝗿𝗼𝘂𝗸𝗮𝟭𝟴𝟵𝟵 , autour du numéro vert 1899, dédié à l’écoute, au signalement et à l’assistance des victimes.
Pour porter ce message, l’artiste Nabiha Karouili a dévoilé, lors de la soirée de clôture du Festival international de Hammamet, le 13 août, une version revisitée de ce chant : Mabrouka Tetjalla. De symbole de souffrance, la chanson se transforme en hymne de courage et d’espoir, appelant les femmes à rompre le silence et à chercher de l’aide.
À travers cette initiative, la voix de Mabrouka renaît, non plus pour témoigner de la douleur, mais pour inspirer la force et rappeler que chaque appel au 1899 peut sauver une vie.
Une chanson qui fait danser, mais dont les paroles racontent une tragédie. En Tunisie, Mabrouka Tetbarra a longtemps été fredonnée lors des mariages, ignorant qu’elle décrivait la souffrance d’une femme battue. Ce paradoxe illustre à lui seul le silence qui entoure encore les violences faites aux femmes.
Le 13 août, à l’occasion de la Journée nationale de la femme, ce silence a été brisé sur la scène du Festival international de Hammamet. La chanteuse Nabiha Karouili a offert une nouvelle vie à cette chanson sous le titre Mabrouka Tetjalla. Désormais, la plainte se transforme en appel à la force, et les couplets résonnent comme une invitation à dire « non ».
#𝗠𝗮𝗯𝗿𝗼𝘂𝗸𝗮𝟭𝟴𝟵𝟵, Cette initiative s’inscrit dans une campagne du Ministère de la Femme, de la Famille, de l’Enfance et des Seniors, en partenariat avec l’Observatoire national de lutte contre les violences faites aux femmes. Son objectif : rappeler l’existence du numéro gratuit 1899, ligne d’écoute et de soutien.
À travers cette réinterprétation, une chanson qui appartenait aux traditions populaires devient un outil de prévention moderne. Et si, cette fois, chanter et danser sur Mabrouka servait à sauver des vies ?
Une chanson qui fait danser, mais dont les paroles racontent une tragédie. En Tunisie, Mabrouka Tetbarra a longtemps été fredonnée lors des mariages, ignorant qu’elle décrivait la souffrance d’une femme battue. Ce paradoxe illustre à lui seul le silence qui entoure encore les violences faites aux femmes.
Le 13 août, à l’occasion de la Journée nationale de la femme, ce silence a été brisé sur la scène du Festival international de Hammamet. La chanteuse Nabiha Karouili a offert une nouvelle vie à cette chanson sous le titre Mabrouka Tetjalla. Désormais, la plainte se transforme en appel à la force, et les couplets résonnent comme une invitation à dire « non ».
#𝗠𝗮𝗯𝗿𝗼𝘂𝗸𝗮𝟭𝟴𝟵𝟵, Cette initiative s’inscrit dans une campagne du Ministère de la Femme, de la Famille, de l’Enfance et des Seniors, en partenariat avec l’Observatoire national de lutte contre les violences faites aux femmes. Son objectif : rappeler l’existence du numéro gratuit 1899, ligne d’écoute et de soutien.
À travers cette réinterprétation, une chanson qui appartenait aux traditions populaires devient un outil de prévention moderne. Et si, cette fois, chanter et danser sur Mabrouka servait à sauver des vies ?