La Femme (réduction des risques tabagiques ) – Un milliard de personnes seront mortes d’ici la fin du siècle à cause de maladies liées au tabagisme. Les campagnes anti-tabac permettent de prévenir et de sensibiliser contre les méfaits du tabagisme, mais leur impact reste limité en matière de sevrage. Résultat, des millions continueront à fumer. Prenant en compte la nouvelle démarche pragmatique de santé publique qui considère que les contextes de consommation sont au moins aussi déterminants que les produits eux-mêmes, il convient de proposer aux fumeurs qui ne veulent pas ou ne peuvent s’abstenir de fumer, une alternative qui pourrait les mettre sur la voie du sevrage tabagique.
L’exemple le plus réussi est celui du Royaume Uni qui dès 2007 a approuvé l’utilisation de formes plus sûres de nicotine tels que l’e-cigarette et a pour ambition de passer au « sans tabac » d’ici 2030. Les études anglaises de santé publique ont conclu que les e-cigarettes sont 95 % moins nocives que les cigarettes combustibles et ont eu un grand apport en tant que moyen de sevrage. Il est à préciser que la qualité et la sécurité des cigarettes électroniques sont étroitement réglementées et que la plupart des ONG de lutte contre le tabagisme et de santé et de nombreux organismes médicaux de confiance sont impliqués dans cette démarche et approuvent l’utilisation des e-cigarettes comme moyen d’aider les gens à arrêter de fumer.
Dans ce sens, le principal problème de la cigarette se situe au niveau de la combustion. Ce phénomène génére 6000 substances chimiques dont 100 ont été recensées comme nocives ou potentiellement nocives pour la santé. Cette problématique a eu comme solution l’apparition de la technologie de Tabac chauffé IQOS Philip Morris International qui s’inscrit comme étant une source de nicotine alternative de même que les produits de remplacement nicotinique.
